Etaient présents : Agnès (Initiée de la sortie), Aurélie, Anaïs, Blandine, Eloïse, Véro, Thomas et Jean-Laurent. Dominique a rejoint le groupe Planagrèze dimanche.
Départ samedi sous le soleil mais de bonne heure.
Rdv au PAJ de Caniac du CAUSSE entre 10h et 11h.
Arrivée synchronisée de Tom/Anaïs et Agnès, Blandine et Jean-Laurent. 1h plus tard arrive enfin la dernière voiture Véro, Eloïse et Aurélie (qui a oublié de se réveiller)…
Compte tenu de l’heure tardive, nous pique-niquons au PAJ.
Préparation des kits, Tom et Véro pour aller à Planagrèze et le reste pour l’Igue de Diane.
Echec pour Plana, déjà du monde donc feu pour tous vers l’igue noire et l’igue de Diane à travers un chemin peu carrossable :trsrqtht: qui donne une scène surréaliste : Tom au volant et 6 filles prêtent à pousser la voiture. Au dernier moment celui-ci cède sa place en galant homme.
L’Igue Noir : Véro, Anaïs et Tom.
L’igue de Diane : Eloïse, Aurélie, Agnès, Blandine et Jean-Laurent.
D’abord le croustillant : Blandine sent les rillettes depuis qu’elle s’est faite tomber celles-ci sur son pantalon. Eloïse se gratouille l’arrière train depuis qu’elle a été au toilette à cause d’une brindille coincée on ne sait où. Je passe sur la partie d’orientation que nous nous sommes offerts pour trouver les trous. Bref, nous y voilà. Equipement en double, Eloïse et Jean-Laurent à la manœuvre. Suivie d’Aurélie et enfin Blandine et Agnès. Agnès se plait sur la corde vu le temps qu’elle passe aux différents fractionnements... Arrivé en bas, visite de la cavité avec quelques petites escalades et farfouillages en tout genre. Eloïse nous gratifie d’une leçon de chose sur les concrétions qui ouvre un vif débat entre matériel et matériaux :ukhrtygh:. Mais ce n’est pas tout de discuter, il s’agit de remonter car l’heure tourne et la perspective du repas chez Mamie Odile excite quelques papilles. Rien de particulier à signaler si ce n’est le temps passé à nouveau sur la corde par Agnès, qui décidemment, aime bien être pendue. En fait, elle n’a pas encore acquis le mouvement permettant de défaire la poignée de façon simple. Y’a encore du boulot de ce côté. A noter que Blandine est d’un calme olympien et donc qu’elle ne rote pas. Retour au PAJ et départ chez Mamie Odile. Inutile de narrer les pérégrinations aléatoires qui nous mènerons quand même à bonne table.
Chez Mamie Odile, toujours 7 plats copieux :tpebnf54: :hum113:, arrosés de pinard en bouteille de 2 litres. Evidemment une petite prune pour sceller l’issue du repas. C’est là que les choses se corsent : la digestion entamée, direction des WC pour Agnès qui bouche les WC :truisjhnkjn: comme il est de coutume ces temps-ci (en effet, elle nous avoue que partout où elle passe, les chasses d’eau trépassent pas plus tard qu’il y a 5 jours chez elle). Pendant ce temps-là Anaïs et Véro chantent le curée de Camaret. Bref, en résumé, une bonne soirée dans une bonne ambiance.
Dimanche : tandis que Tom, Véro et Anaïs rejoignent Dominique à Planagrèze, le reste des troupes part à l’Igue Noire. Equipement en double comme la veille par les mêmes personnes. L’ambiance au bord du trou et le franchissement du ressaut auront raison de la bonne volonté d’Agnès :fsght: :fsgjyt:. Pour les autres protagonistes, découverte de l’ensemble de la cavité. Le puits suivant est joli mais tortueux, ce qui complique un peu l’équipement et donc met à l’épreuve la patience des filles ainsi que deux pompiers venus nous rejoindre. Eloïse prend alors le relais pour équiper les dernières difficultés qui nous mènent au fond du trou. Aurélie, si heureuse en compagnie de ces deux pompiers
, simule une baisse de régime afin de se faire accompagner pendant le début de la remontée. Elle abandonnera ses chevaliers servants au pied du puits de sortie sur ordre de Blandine, jalouse de ne pas pouvoir elle aussi profiter des deux visiteurs… Rien à signaler pendant la remontée, Blandine au déséquipement, prédécédée d’Eloïse qui coince un peu dans un passage un peu impressionnant m’obligeant à aller la chercher. Et pendant ce temps là, Aurélie attaque la remontée du puits avec tant de détermination qu’elle en arrache sa pédale, se retrouvant coincée à attendre que quelqu’un veuille bien lui faire parvenir une sangle. L’attente durera longtemps pour la pauvre Aurélie, tiraillée par un besoin pressant :pipiipipi: et assailli par la pluie qui se met alors à tomber drue. La sortie du trou se fera sans encombre, sous la pluie, à l’image du retour en voiture… :trhhaqwhtht: