Le 28, Sortie au gouffre Georges.
Présent: Marie (Baramine), Erwan, Adrien, Cécile
TSPT: 6h
Arrivée la veille au soir dans un joli petit chalet tout mignon. Marie s'octroie la grande chambre d'amour pleine de coeurs pour bien dormir... et ne dors pas de la nuit. Les autres se réveillent pas trop tôt.
Objectif pour Marie et Cécile: équiper. C'est Marie qui commence avec les premiers puits (Hormis l'entrée, tout est broché et équipé en fixe, ça nous aide bien) jusqu'au pied de la grande galerie et Cécile prend la suite jusqu'au puits des sinus. Le réseau se développe dans une roche calcaire légerment métamorphisé et au contact de la lherzolithe, une roche très ancienne (une des plus vieille au monde!!) du nom de l'étang de Lherz, juste à la surface du trou. Les galeries ont de beaux volumes et la morphologie est très belle. A noter qu'il ne fait trop chaud dans ce trou, et enplus il y a des gens qui chantent pour se maintenir au chaud. On mange dans la salle de la famine, et Marie n'en pouvant plus, on remonte vers 14h avec Marie déséquipant ce que Cécile à équiper et inversement. L'équipement était absolument parfait, fait de manière très rapide (Adrien a à peine eu le temps de claqué des dents !! sous son poncho...). Cécile sort à 17h sous une avalanche de feuilles mortes lancées on se demande bien par qui (rappelons que tous le monde est dehors).
On prend la route de retour vers le gite (A DROITE avant le pont ! A DROITEEEE ! enfin, encore faut-il être au bon pont) qui fut bien plus long que l'allée, Erwan "roulant" sans se soucie de "vers où", confiant cela au copilote (Adrien...). Heureusement que Marie était encore réveillée.
Le lendemain matin (le 29 donc), on part plus tôt faire le TC1. Les coordonnées GPS ne sont pas du tout les bonnes, et malgré Marie et Cécile qui font remarqué que le lieu ne correspond absolument à la description de la topo, on cherche pendant une heure
. Après une heure de marche, on monte enfin au col indiqué sur la topo et on cherche dans la montagne... sans trouvé
. Mais je sais que le trou, il est là. on l'a juste pas trouvé. Du coup, on redescend et on s’arrête laver le matos et on rentre.