Lieu : Le Trou des Vents d’Anges
Personnes présentes : Tom, Adrien, Fred.L, Aude, Yann, JP, Marcia, Marion
TPST : 6 heures
7h10 : Rebelote (non non ce n’est pas du tout une allusion a une partie enflammée de coinche faite la veille car ce serait remuer le couteau dans la plaie pour certains…) le réveil sonne aux aurores ! On range, on nettoie, on prépare tout, Marie Guérard nous apporte généreusement les clés du trou, et nous voici partis en laissant François qui a besoin de repos. Son initiation est remise à plus tard.
10h00 : Après quelques petits soucis pour trouver l’entrée du trou, la visite commence par un peu de contorsion avant d’arriver dans la salle du CPE. La progression se poursuit avec de petits puits, des mains courantes, quelques passages bas et du méandre plus ou moins large. On entend râler par endroits mais tout le monde suit et reste motivé, notamment grâce aux petits bouquets d’aragonite qui apparaissent déjà par endroits : un avant goût de ce qui nous attend !
12h00 : Nous nous arrêtons pour grignoter juste avant la « partie concrétionnée ». Après 2-3 blagues de JP et quelques sous-entendus très moyens de Yann sur la qualité de la population spéléo féminine (voir avec Marcia pour plus de détails)… nous partons nous balader en direction de la salle du vent. Nous suivons le balisage en prenant garde de ne rien salir (!) et nous profitons à nouveau du paysage : draperies, baguettes de gours, coulée de calcite et bien sûr… de l’aragonite ! Certains d’entres nous mitraillent les magnifiques bouquets tout blancs, tandis que d’autres jouent presque les blasés… je rêve !!
14h00 : Nous atteignons la salle du sable et entamons la marche retour.
14h50 : Après un micro-détour pour admirer quelques dents de cochon et des perles des cavernes, nous décidons de remonter. C’est reparti, avec tout d’abord un ressaut puis une main courante sur laquelle il semble plus simple de ne pas utiliser le bloqueur de pied (qqn a testé pour nous mais on ne citera personne…
!). Tout s’enchaine tranquillement, Tom et moi fermons la marche. Arrivés à la base d’un puits d’une dizaine de mètres, du bruit semble provenir du méandre derrière nous… et bien oui, Yann nous rejoint après une légère erreur de parcours...ouf !
16h00 : Tout le monde est dehors. Malgré la pluie le moral des troupes est au top ! On remballe, et direction Bordeaux. Merci à tous pour ce super week-end !