Nous réattaquons dans la foulée la désob de la préhistorique, (5ème tentative) :dsrtgh: . Après un bon pique-nique au soleil nous voilà allongé dans le boyau boueux. Nous travaillons quelques heures, mais nous n'arrivons qu'a grignoter quelques écailles de calcaire. Je tente à 2 reprise de passer, mais le passage est toujours trop étroit, à chaque tentative, la boue liquide pénétre dans tous les interstices de mon casque que je tiens à la main, ainsi que dans les moindre repli interne de ma combi. J'essaye de m'imaginer dans une baignoire de nutella liquide, mais rien n'y fait la sensation n'est pas agréable. Trempé jusqu'au zlip, au bout d'un moment je ne sens plus le bout de mes doigts. Arf, j'abandonne à contre coeur :qsss: . Le Fred tente à son tour de pénétrer la tête en avant pour voir ce qui se passe derrière cet obstacle qui nous énerve depuis 5 scéances. Lui aussi il va sacrifier sa tête toute propre, il arrive à déceler un puits ou une grande marche dont il est difficile d'estimer la profondeur (au moins 1 m). En tout cas cette étroiture débouche sur le haut d'une "bulle" assez" spacieuse pour notre région. Quand il ressort avec la boue sur la tête (accompagné de quelques colibets insolents), il est devenu tout blond, ça lui va pas mal d'ailleur ... Nous décidons qu'il nous faudra louer un petit marteau piqueur, pour finir le travail. Il faudra que l'on essaye le groupe électrogène au par avant.
Sur le chemin du retour nous nous arrêtons à la rivière de Jugazan pour laver nos affaires dans la rivières, dont la couleur ressemblera à celle de l'Amazone le temps de notre passage. :thidetqzs:
Voilou,
JF