Voici juste un petit résumé.
But du séjour, faire découvrir le Cayolar à une vieille connaissance.
D'abord et avant tout, c'est un fait, le climat se dérègle ! En trois jours, pas la moindre trace de brouillard et un soleil à faire pâlir d'envie un estivant de la côte d'Azur. Côté température, même chose. 2 nuits les duvets ouverts, soirée en short et sans polaire.
Sinon, une halte au Cayolar n’en est pas une sans une petite virée prospective.
Et à ce petit jeu, je suis tombé sur un trou souffleur. Petit le trou. Il se situe dans le talweg du H144 entre 50 et 100m en amont. Pour quantifier le souffle, le spéléo étant par nature généreux, je propose l’équation suivante :
SP x 0,7 = SR avec SP Souffle Perçu, SR Souffle Réel et 0,7 coefficient de pondération sensé représenter l’émotion de la découverte et la légitime envie de convaincre ses congénères qu’il va falloir aller y désober pour voir.
Dans le cas présent, j’évalue le courant d’air « fort » ce qui fait au final un courant d’air objectif qualifiable de « sensible ». Le courant d’air est froid et là, pas besoin de pondérer, à ceci près qu’il faisait très chaud dehors.
De toute façon il suffira d’y passer une demi-journée pour savoir à quoi s’en tenir…
Bonne soirée à tous.