Date : 29 janvier 2022
Groupe : Rémi, Emilie, Blandine, Mathilde, Cécile, Adrien, Dom, Erwan, Chryseis
TPST : 2h34 (petit différence avec celui d'Adrien ??)
Premier trou, connu par certains, avec des souvenirs plus ou moins fiables.
On commence par descendre un petit puits caché par une plaque d’égout et équipé par Erwan. Erwan reprend un cours de nœud de tisserand avec Emilie mais au renonce au profit de 2 dynemas sur la plaque avec 2 mousquetons et une corde de 20 m (une de 15 m aurait suffit). Le puits se désescalade bien mais la corde permet une progression en sécurité.
On vérifie qu’on n’oublie rien. On évoque Dom qui oublie souvent quelque chose… Et surprise, Dom réalise qu’i a oublié son torse : demi-tour à la voiture !
Le puits n’est pas très large mais ce qui suit l’est encore moins et les quelques premiers mètres d’étroitures ont raison de Blandine. Parti à 9, on poursuit à 8.
On s’engouffre dans l’étroiture sur 20 m, tête en premier c’est mieux des dires de ceux passés les pieds devant.
On arrive à un ressaut à descendre avec une corde en place et des barreaux. En bas, une grande salle s’ouvre sur une bi-trifurcation : à gauche (dos aux barreaux) direction le tunnel SNCF et à droite vers un beau canyon avec de l’aragonite.
On prend d’abord à gauche, on remonte une coulée à l’aide d’une corde pour ensuite progresser « en suspension » entre concrétion sur une main courante à équiper. On redescend sur une autre coulée avec corde prolongeant la main courante.
La balade se poursuit, un peu humide aux pieds, jusqu’au tunnel SNCF. Erwan installe une corde pour descendre voir les rails, sur « le quai de Fontille ».
La topo annonçait 5h-6h aller-retour mais au tunnel, on n’a fait beaucoup moins. On demande à Erwan pourquoi il a pris dans cette direction. Dans ses souvenirs l’autre côté n’avait que peu d’intérêt. On prend donc le chemin du retour. Arrivé à la coulée, glissante à remonter, tout le monde s’amuse des dérapages, du style de chacun. Les plus moqueurs se retrouvent bien mal quand c’est à leur tour…
De retour à la bi-trifurcation, Dom, Cécile et Mathilde décident d’aller voir ce qu’il y a sur la droite. Et surprise, c’est la partie la plus intéressante. Les autres sont censés remonter mais le temps qu’ils arrivent à la bi-trifurcation, le petit groupe poursuit, rejoint par Erwan et Rémi. Finalement, il s’agit d’un très beau canyon aux parois d’aragonites. Erwan reconnaît peut-être les souvenirs embrouillés.
Le groupe n’ira pas jusqu’au bout, regret. Il faudra revenir. La cavité ne présente pas de difficultés pour s’orienter, équiper ou progresser. Ne simplement pas se laisser impressionner par l’étroiture d’entrée.
Rapport de Mathilde