64- XendakoZiloa / InterClub GESA amaglamé- TPST 9h - 3pers

• GESA-amalgamés : Rémi, Mathilde, Emilie
  
• Amalgame : Brigitte, Jean-Louis, Joël, Papou, Régis, Véro,
  

Rendez-vous en donné au chalet du Bracas vendredi soir, où nous retrouvons Papou, Régis et Brigitte.
(Merci à Régis, d'être allé cherché les ponchos ACS chez Maryse, cela nous a évité un beau détour. Livraison de ponchos directement sur site d'explo, ils gèrent les spéléo du 64).

La suite c'est Papou qui raconte :


CR de Papou

Un, dos, tres et de trois. C’est bien une troisième jonction qu’Amalgame vient de réaliser entre Xendako et le Maria Dolores.  L’équipe très motivée avec une parité quasi-exemplaire Brigitte, Emilie, Mathilde et Véro, et Jean-Louis, Joël, Régis et Papou et avec la complicité tacite d’Alain qui nous a aussi accompagnés toute au long de cette superbe descente.
Nous sommes partis avec deux objectifs en tête: Voir si un réseau s’ouvrait plus vers l’ouest au-delà du Maria, et continuer la descente vers une très probable jonction.
Concernant la progression vers l’ouest, nous n’avons rien trouvé de mieux. Nous l’avons espéré très brièvement, mais dame nature en se perdant dans les méandres en a décidé autrement.
Mais, la jonction a été faite, au grand soulagement de l’équipe qui du coup, n’avait pas à se farcir les 400m de remonté. Pour autant, avec surprise, elle ne s’est pas faite exactement où nous l’attendions. Lors de notre tentative précédente, la topo nous indiquait le dernier point pile à l’aplomb du réseau supérieur, mais c’est alors que la boussole s’est affolée en nous renvoyant vers le sud-ouest où nous avons atterri à la base du magnifique puits Antonio exactement à -405m. Après le puits de 40m reconnu en janvier, un petit rétrécissement avec méandre aurait pu nous contrarié, mais pas du tout, et on a enchaîné avec un P70. Véro partie devant en reconnaissance, a retrouvé rapidement une des cordes remontant dans les niveaux plus conforts du Maria.  Encore une fois, nous arrivons au balcon de l’Aranzadi pour admirer la Verna illuminée. Décidément, on ne s’en lasse pas.