Après avoir été rejoins par Elisa sur le parking de Tharaux, nous voilà partis pour la D901.
La marche d’approche est rapide 3min le long de la départementale derrière le rail de sécurité, puis l’on soulève la grille qui marque l’entrée de l’aven de la buse. Rémi passe devant et équipe pendant que le reste du groupe attend patiemment.
Après quelques puits, nous parvenons à une première salle bouseuse mais concrétionnée. Nous nous faufilons sur la gauche de la salle dans un interstice qui ce ressert progressivement. S’offrent à nous deux jolies salles concrétionnées.
Emilie s‘engouffre dans un trou au fond de la salle avant d’être rejointe pas le reste du groupe. Le méandre débouche sur une petite salle, qui continue dans un conduit en zig à gauche puis zig à droite. Parfaitement proportionnée pour certaines, étroiture infâme pour d’autre. Quoi qu’il en soit la reptation remémore quelques règles de base à l’équipe. Au passage, on notera que notre nouvelle recrue est top non seulement elle porte les kits toute la sortie mais en plus elle a un cerveau
, contrairement au reste du groupe
. Après être sortis du boyau, on parvient en haut d’un puits que l’on descend pour atteindre une grande salle en éboulis. Sur la droite une première niche concrétionnée et sur la gauche Guillaume et Rémi découvrent un spot à sieste constellé d’excentriques très excentriques.
Après avoir descendu, la salle sur la gauche nous remontons de l’autre coté pour atteindre une vire et une lucarne. par cette dernière, on débouche sur de grands volumes. Nous arrêtons notre descente pour pique-niquer sur un plateau surplombant le noir, une pierre nous confirmera qu’il s’agit du lac. Une fois repus trois possibilités de progression s’offrent à nous.
- Continuer de descendre jusqu’au niveau de l’eau, argileusement garanti.
- Parvenir à la vire qui contourne le lac et permet de gagner la galerie du chat, hasardeux vu le passage engagé non équipé, qu’il faut préalablement passer.
- S’engager au-dessus du vide sur une corde en fixe qui pend du plafond. Ne pouvant pas vérifier l’amarrage avant de s’élancer, nous faisons sagement demi-tour, laissant au réseau supérieur ces mystères
.
Emilie déséquipe à Rémi reste au contact. De retour au boyau, il faut bien à Adrien, toute la motivation d’une raclette hautement promise pour s’extirper du conduit
.
La fin de l’après-midi sera à trouver des châtaignes (Merci à Dom pour la crème de marrons ) et à la visite de l’aven d’Orgnac .